Sebastian a appris le cinéma « sur le pouce », littéralement, en faisant du stop entre Bruxelles et Téhéran, puis entre Rio de Janeiro et Lima. Cette éducation nomade lui a ouvert les portes de sa bien-aimée Bruxelles, où il a collaboré comme vidéaste avec des ONG locales, des institutions publiques, des artistes, des athlètes et des entreprises privées.
Toujours en quête d’histoires à raconter, il a puisé son inspiration dans ses multiples métiers : professeur d’intégration, guide touristique, consultant en communication, travailleur en santé mentale et journaliste de voyage.
Par hasard (ou peut-être pas), ses deux projets les plus marquants racontent l’histoire de personnes d’origine marocaine — d’abord des athlètes, puis, comme dans son film actuel, des artistes.
Son nouveau film, qui sortira l’année prochaine, a été tourné à Fès, au Maroc, et retrace la vie d’une redoutable joueuse de cartes de la ville.
Toujours sur la route, Sebastian continue de lever le pouce, mais cette fois pour attraper l’inspiration.