Nadesh, Chérif et Anamiga font partie de ces milliers d’interprètes qui, chaque jour, racontent à la première personne l’exil et la précarité pour accompagner les demandeur·euses d’asile. Leurs voix tissent un lien invisible entre l’ici et l’ailleurs.
Comment traduire et faire passer les émotions quand la vie de quelqu’un en dépend ? Que faire quand le témoignage qu’on entend est faux ou incomplet ? Comment traduire ce qui ne peut l’être quand la pudeur s’en mêle ?